dimanche 22 juillet 2012

Azincourt, an de Grace deux mil douze.

La commémoration  de la bataille d'Azincourt est synonyme d'une des plus  triste défaite de ce pays qu'on appelle France. Elle est la preuve même de l'absurdité du sort. Elle témoigne du côté partisan et parfois cruel des dieux et peut être même de l'impuissance de celui des chrétiens. Car à Azincourt, si dieu existait, il aurait dû être du côté des Français. Tant ils étaient l'image de ce qu'était un guerrier valeureux de ces temps là. Honnête, courageux et courtois et ce contrairement aux vils Anglais, assassins mercenaires et autres repris de justice en mal de pillage.


Mais la commémoration d' Azincourt est aussi pour moi, un moment de joie. Car elle fleure bon les mois d'été, l'arrivée des vacances qu'on attend tant. Le soleil au dessus de "Senos Goba". Cette année encore Azincourt ne m'a pas déçu, car c'est peut être le plus beau jour ensoleillé que nous ayons eu depuis le début de cet été. Une fois encore, une  multitude de Britanniques qui  sont venus comme chaque années squatter   nos champs en occupants, se coucheront ce soir avec des maux de crâne, des insolations, des dos et des fesses brulés...  Bélénos comme chaque année, se positionne du côté des Français.








































































































































Une belle journée à la mémoire de  "l'étendard", Raoul IV de Créquy, Chevalier Français , mort à 19 ans lors de la bataille.


Clyde, le Bipède.

2 commentaires:

  1. Bonjour,
    j'ai fait partie du camp français, la Guerre des Couronnes.
    Merci pour tes photos
    D'autres sont visibles ici
    A bientôt

    https://picasaweb.google.com/108762367484038590234/Azincourt2012ReconstitutionBataille1415LaGuerreDesCouronnes?authuser=0&feat=directlink

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  2. Une magnifique série de photos.

    L'église, qui domine la scène par son haut clocher pointu, se fait bergère et semble protéger toutes ces toiles du camp, que nous espérons français.
    Mais ce n'est qu'une illusion.
    Ce jour-là les dieux se sont contentés d'observer les cavaliers français s'embourber...
    B

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