mardi 23 juillet 2019
lundi 10 juin 2019
Benca TriCanauos (22/11/2006-01/06/2019)
Je veux courir avec toi, Epona ! Courir les landes, les bois et les plaines.
Je veux courir avec toi, Epona ! Courir vers le couchant, à en perdre haleine.
Car le temps est venu de partir vers les îles de l’autre monde.
Je n’ai pas peur, car tu es avec moi, Epona.
Je t’attendais.
Je t’ai toujours servi sans tricherie.
Je t’ai toujours servi humblement.
A chaque instant de ma vie.
Je veux courir avec toi, Epona ! Courir les landes, les bois et les plaines.
Je veux courir avec toi, Epona ! Courir vers le couchant, à en perdre haleine.
Si le temps est venu de partir vers les îles de l’autre monde.
Je n’ai pas peur, car tu es avec moi, Epona.
Tu parais.
A tes cotés, une jument baie.
A tes pieds, un chiot.
Sur ton épaule, un oiseau.
Je veux courir avec toi, Epona ! Courir les landes, les bois et les plaines.
Je veux courir avec toi, Epona ! Courir vers le couchant, à en perdre haleine.
Si le temps est venu de partir vers les îles de l’autre monde.
Je n’ai pas peur, car tu es avec moi, Epona.
Je t’attendais et tu parais.
Si j’ai à la main gauche, mon bouclier.
Mon épée est restée au fourreau.
Dans ma main droite, une pomme.
Je veux courir avec toi, Epona ! Courir les landes, les bois et les plaines.
Je veux courir avec toi, Epona ! Courir vers le couchant, à en perdre haleine.
Si le temps est venu de partir vers les îles de l’autre monde.
Je n’ai pas peur, car tu es avec moi, Epona.
Tu parais, je t’attendais.
Crois moi, je n’ai pas peur!
Mais j’ai le cœur gros, car je laisse derrière moi,
Et mon cheval bai et mon chien et mes oiseaux.
Mais le temps est venu pour moi.
De courir avec toi, Epona ! Courir les landes, les bois et les plaines.
De courir avec toi, Epona ! Courir vers le couchant, à en perdre haleine.
Car le temps est venu de partir vers les îles de l’autre monde.
Je n’ai pas peur, car tu es avec moi, Epona !
Je t’ai toujours servi sans tricherie.
Je t’ai toujours servi humblement.
A chaque instant de ma vie.
Je veux courir avec toi, Epona ! Courir les landes, les bois et les plaines.
Je veux courir avec toi, Epona ! Courir vers le couchant, à en perdre haleine.
Si le temps est venu de partir vers les îles de l’autre monde.
Je n’ai pas peur, car tu es avec moi, Epona.
Tu parais.
A tes cotés, une jument baie.
A tes pieds, un chiot.
Sur ton épaule, un oiseau.
Je veux courir avec toi, Epona ! Courir les landes, les bois et les plaines.
Je veux courir avec toi, Epona ! Courir vers le couchant, à en perdre haleine.
Si le temps est venu de partir vers les îles de l’autre monde.
Je n’ai pas peur, car tu es avec moi, Epona.
Je t’attendais et tu parais.
Si j’ai à la main gauche, mon bouclier.
Mon épée est restée au fourreau.
Dans ma main droite, une pomme.
Je veux courir avec toi, Epona ! Courir les landes, les bois et les plaines.
Je veux courir avec toi, Epona ! Courir vers le couchant, à en perdre haleine.
Si le temps est venu de partir vers les îles de l’autre monde.
Je n’ai pas peur, car tu es avec moi, Epona.
Tu parais, je t’attendais.
Crois moi, je n’ai pas peur!
Mais j’ai le cœur gros, car je laisse derrière moi,
Et mon cheval bai et mon chien et mes oiseaux.
Mais le temps est venu pour moi.
De courir avec toi, Epona ! Courir les landes, les bois et les plaines.
De courir avec toi, Epona ! Courir vers le couchant, à en perdre haleine.
Car le temps est venu de partir vers les îles de l’autre monde.
Je n’ai pas peur, car tu es avec moi, Epona !
vendredi 21 septembre 2018
c'était un bel après midi d'automne.
Je m'appelle Benca TriCanauos et j'appartiens au clan de "la vieille
forge des trois jeunes chiens". Je suis une chanceuse car j'ai deux
anniversaires.
Le premier est celui de ma naissance, dans un élevage de chiens de berger de la région. C'était le 22 novembre 2006.
Le second est celui du début de ma vraie vie, ici à Sena Goba, c'était le 21 septembre 2010.
Je n'ai plus beaucoup de souvenirs de mes quatre premières années, sinon que je vivais dans un chenil au plafond bas et que les journées étaient solitaires,longues et ennuyeuses.
Le premier est celui de ma naissance, dans un élevage de chiens de berger de la région. C'était le 22 novembre 2006.
Le second est celui du début de ma vraie vie, ici à Sena Goba, c'était le 21 septembre 2010.
Je n'ai plus beaucoup de souvenirs de mes quatre premières années, sinon que je vivais dans un chenil au plafond bas et que les journées étaient solitaires,longues et ennuyeuses.
C'était un bel après midi d'automne.
Je me souviens cependant comme si c'était hier, de ce 21 septembre 2010, lorsque la porte de ma baraque s'est ouverte. Je pensais qu'il s'agissait juste d'une sortie inopinée et j'étais bien décidée à en profiter. Mais le maître était accompagné d'un étranger qui s'est de suite agenouillé à côté de moi. Sa main m'a flatté derrière les oreilles, ( bien que celles-ci soient remplie de tiques). il avait une voix douce. Il a cassé un petit objet entre ses doigts me l'a tendu. une odeur délicieuse s'en dégageait, après un instant de doute, je l'ai accepté, c'était mon premier biscuit.
Profitant de cet instant de liberté, j'ai couru jusqu'au poulailler. J'ai humé les odeurs de la ferme, celles de vaches auprès desquelles je ne travaillais pas...
Le maitre m'a rappelée, la sortie était déjà finie. Je n'avais pas envie de retourner au chenil, mais j'ai obéi.
L'étranger a sorti un collier et une laisse de sa poche et il me l'a passé autour du cou. Avec lui et le maitre nous sommes entrés dans la maison, j'étais rétive et inquiète, car en général je n'y avais pas accès. Je suis restée très sage, entre les jambes de mon nouvel ami.
L'étranger s'est levé et il me tenait toujours en laisse, il a quitté la maison et je l'ai suivie. lui et moi, on a quitté la ferme et on s'est dirigé vers une voiture. Il a ouvert la portière et j'ai eu peur. L'espace d'un instant j'ai souhaité qu'on me ramène au chenil.
Mais le bipède avait une voix gentille, alors je suis montée dans la voiture et je n'ai pas regardé en arrière.
Huit années se sont écoulées et aujourd'hui aussi, c'est un bel après midi d'automne.
Maître Clyde qui ne travaille pas a dit que c'était un jour particulier et qu'à ce titre nous allions le fêter.
C'est l'anniversaire du début de ma vraie vie!
je suis là, posée à ses pieds et lorsque nos regards se croisent, je remue la queue.
Ce soir, j'ai bien compris que le repas sera amélioré et que lorsque maître Clyde allumera la bougie de notre autel et qu'il fera ses offrandes, ce sera spécialement pour moi.
Il remerciera les Dieux de Celtie de nous avoir permis de nous rencontrer et moi, dans mon cœur de chien, je ferai pareil.
On est bien ici!
Je me souviens cependant comme si c'était hier, de ce 21 septembre 2010, lorsque la porte de ma baraque s'est ouverte. Je pensais qu'il s'agissait juste d'une sortie inopinée et j'étais bien décidée à en profiter. Mais le maître était accompagné d'un étranger qui s'est de suite agenouillé à côté de moi. Sa main m'a flatté derrière les oreilles, ( bien que celles-ci soient remplie de tiques). il avait une voix douce. Il a cassé un petit objet entre ses doigts me l'a tendu. une odeur délicieuse s'en dégageait, après un instant de doute, je l'ai accepté, c'était mon premier biscuit.
Profitant de cet instant de liberté, j'ai couru jusqu'au poulailler. J'ai humé les odeurs de la ferme, celles de vaches auprès desquelles je ne travaillais pas...
Le maitre m'a rappelée, la sortie était déjà finie. Je n'avais pas envie de retourner au chenil, mais j'ai obéi.
L'étranger a sorti un collier et une laisse de sa poche et il me l'a passé autour du cou. Avec lui et le maitre nous sommes entrés dans la maison, j'étais rétive et inquiète, car en général je n'y avais pas accès. Je suis restée très sage, entre les jambes de mon nouvel ami.
L'étranger s'est levé et il me tenait toujours en laisse, il a quitté la maison et je l'ai suivie. lui et moi, on a quitté la ferme et on s'est dirigé vers une voiture. Il a ouvert la portière et j'ai eu peur. L'espace d'un instant j'ai souhaité qu'on me ramène au chenil.
Mais le bipède avait une voix gentille, alors je suis montée dans la voiture et je n'ai pas regardé en arrière.
Huit années se sont écoulées et aujourd'hui aussi, c'est un bel après midi d'automne.
Maître Clyde qui ne travaille pas a dit que c'était un jour particulier et qu'à ce titre nous allions le fêter.
C'est l'anniversaire du début de ma vraie vie!
je suis là, posée à ses pieds et lorsque nos regards se croisent, je remue la queue.
Ce soir, j'ai bien compris que le repas sera amélioré et que lorsque maître Clyde allumera la bougie de notre autel et qu'il fera ses offrandes, ce sera spécialement pour moi.
Il remerciera les Dieux de Celtie de nous avoir permis de nous rencontrer et moi, dans mon cœur de chien, je ferai pareil.
On est bien ici!
Benca TriCanauos, du clan de la vieille forge.
mercredi 18 juillet 2018
Arbatios AdCanaunos CunaGenos
Je suis Arbatios AdCanaunos CunaGenos.
Je suis le Maître de la "vieille forge de trois jeunes chiens".
Vertragos des collines d’Atrébatie, je suis un homme libre.
Mes parures sont de bronze, de fer et de verre.
Devant ma porte, j'ai cent lances et cent boucliers.
Sans nulle persécution et sans nul outrage, J'ai servi du temps de ma jeunesse, la coalitions des Gaules.
Dans le pas d’Epona, je cours et avec moi courent mes chiens bergers.
Je suis le Maître de la "vieille forge de trois jeunes chiens".
Vertragos des collines d’Atrébatie, je suis un homme libre.
Mes parures sont de bronze, de fer et de verre.
Devant ma porte, j'ai cent lances et cent boucliers.
Sans nulle persécution et sans nul outrage, J'ai servi du temps de ma jeunesse, la coalitions des Gaules.
Dans le pas d’Epona, je cours et avec moi courent mes chiens bergers.
De la "reconstitution historique".
Voilà un an que Maître Clyde porte l'habit gaulois et que l'espace de weekends, il nous abandonne aux bons soins de la mamie, pour aller vivre à la façon de ses ancêtres, sur des campements historiques.
Cela faisait un bon moment qu'il avait en tête d'en être et c'est grâce à sa rencontre avec ceux de Contoutos Atrébate, qu'il a franchi le pas.
Maître Clyde dans sa vie Gauloise se nomme AdCanaunos, ce qui signifie: "près de ses chiens". C'est dire si nous l'accompagnons dans ses pensées.
Notre patron pensait que le summum de sa vie gauloise serait de participer à la fête de Beltaine au parc de Samara. Les Dieux de Celtie ont entendu son vœux et dès le mois d'Avril dernier, il y participait avec les Mercenaires de Drungo!
Les "Gauloseries" rendent Maître Clyde heureux. Si le maitre est heureux, nous le sommes aussi.
Son nouvel objectif pour l'année prochaine, c'est d'aller faire le Gaulois du côté de Gergovie ou d'Alésia et de rencontrer la Teuta Arverni!
Le TriCanauos.
vendredi 2 mars 2018
de beaux jours à venir.
Je suis rentré tard de la mine de sel cette nuit, vers deux heures du matin. Le point positif, c'est qu'on a pu négocier l'autorisation de poser un congé aujourd'hui. Je suis donc à la maison.
Après plusieurs jours de grand froid qui m'ont gelé l'arrivé d'eau chaude de la salle de bain pendant deux jours, le redoux est là.
Cet après midi, s'il neige sur Atrébatie, les tuyau sont dégelés. Un bon bain bouillant en perspective!
la semaine qui vient sera de repos. Si le TriCanauos est ravi de la fin des longues gardes, je ne vous dis pas combien je le suis moi aussi.
Après plusieurs jours de grand froid qui m'ont gelé l'arrivé d'eau chaude de la salle de bain pendant deux jours, le redoux est là.
Cet après midi, s'il neige sur Atrébatie, les tuyau sont dégelés. Un bon bain bouillant en perspective!
la semaine qui vient sera de repos. Si le TriCanauos est ravi de la fin des longues gardes, je ne vous dis pas combien je le suis moi aussi.
dimanche 18 février 2018
SenasGobas an 10.
L'année 3890 Magos Turatiom de l’ère de la bataille de la Plaine des Tertres marque les dix ans de notre installation à SenaGoba.
Le citadin que j'étais jadis est mort depuis longtemps.
Plus que jamais, j'aime la Gaule, mes chiens et mes bêtes. je nourris aussi les oiseaux du ciel.
Lorsque s'éteint le dixième jour de la lunaison sombre de Mid d'Anagantios, il flotte comme un parfum de printemps sur la vieille forge.
On est bien ici!
Le citadin que j'étais jadis est mort depuis longtemps.
Plus que jamais, j'aime la Gaule, mes chiens et mes bêtes. je nourris aussi les oiseaux du ciel.
Lorsque s'éteint le dixième jour de la lunaison sombre de Mid d'Anagantios, il flotte comme un parfum de printemps sur la vieille forge.
On est bien ici!
samedi 10 septembre 2016
S'Tein Premier, en majesté: La légende.
S'Tein TriCanauos était né dans une ferme à vaches.
Le destin l'avait destiné à être un bon chien de famille, mais S'Tein TriCanauos avait vocation à plus que cela.
"Einstein", (comme ils l'appelaient en ce temps là), voyait plus loin que le jardinet derrière la maison. Il rêvait d'aventure et il fuguait ...
Les Dieux de Celtie avaient un œil aimant sur ce bougre de chien. Aussi après quelques escapades, ils le mirent sur le chemin de Maître Clyde, (soit ma pomme).
C'est ainsi qu' un jour, Maître Clyde l'a trouvé et il a pris contact avec son ancien patron.
L'ancien Maître voulait mettre Einstein à la Espéa!
La Espéa! Par le cul de la vache! Pas pour ce jeune chien là, même s'il est un peu miteux!
Maître Clyde a alors dit: " Ce chien là, il a vocation à servir. Donnez le moi et jamais plus il ne fuguera!"
L'ancien maître a dit: " d'accord".
Si dans ces combats, il y a laissé des plumes, il est toujours là, sauvage comme un bouc!
S'Tein TriCanauos est la fierté de son Maître!
mardi 12 juillet 2016
Ca faisait longtemps...
Ça faisait longtemps que je n'étais pas venu écrire ici. Je ne l'aurais jamais cru, mais Facebook occupe désormais le quotidien.
Aucun sujet depuis Novembre dernier, le temps passe vite...
Il convient de rectifier cela .
Aujourd'hui c'est le quatorzième jour de la lunaison claire de miđ Equos. C'est sans doute un des plus beaux jours de l'année. Les grandes vacances débutent à peine et Bélénos est dessus nos têtes!
Les vacances... Une année durant on attend ce moment là avec impatience. On fait ds projets, parfois pharaonique. On s'imagine bricolant sous le soleil, les chiens gambadant alentours, en écoutant TSF Jazz...
Il faut dire qu'il y a du travail à faire! Pile poil un an que j'ai tout laissé en plan. Alors en vrac:
Entretenir le jardin, nettoyer de fond en comble la maison, peindre la salle de bain et la laverie, carreler devant l'escalier du grenier, refaire la toiture du poulailler, monter les murs en torchis de l'autel Olaf Roméo, repeindre la façade de la maison, ainsi que la porte et les fenêtres de la grange, débarrasser l'atelier et peut être aussi le bucher. Plus ludique, faire les brocantes de St Omer et de Montreuil, aller à Samara et à Azincourt, découvrir la source de la Planquette, marcher dans les bois alentours, manger sainement, boire moins et perdre cinq kilos, jouer au ballon avec Clyde...
Parce que les vacances passeront vite, en profiter!
On est bien ici.
Maître Clyde. le 12 Juillet 2016.
Aucun sujet depuis Novembre dernier, le temps passe vite...
Il convient de rectifier cela .
Aujourd'hui c'est le quatorzième jour de la lunaison claire de miđ Equos. C'est sans doute un des plus beaux jours de l'année. Les grandes vacances débutent à peine et Bélénos est dessus nos têtes!
Les vacances... Une année durant on attend ce moment là avec impatience. On fait ds projets, parfois pharaonique. On s'imagine bricolant sous le soleil, les chiens gambadant alentours, en écoutant TSF Jazz...
Il faut dire qu'il y a du travail à faire! Pile poil un an que j'ai tout laissé en plan. Alors en vrac:
Entretenir le jardin, nettoyer de fond en comble la maison, peindre la salle de bain et la laverie, carreler devant l'escalier du grenier, refaire la toiture du poulailler, monter les murs en torchis de l'autel Olaf Roméo, repeindre la façade de la maison, ainsi que la porte et les fenêtres de la grange, débarrasser l'atelier et peut être aussi le bucher. Plus ludique, faire les brocantes de St Omer et de Montreuil, aller à Samara et à Azincourt, découvrir la source de la Planquette, marcher dans les bois alentours, manger sainement, boire moins et perdre cinq kilos, jouer au ballon avec Clyde...
Parce que les vacances passeront vite, en profiter!
On est bien ici.
Maître Clyde. le 12 Juillet 2016.
mercredi 11 novembre 2015
Le chien de chasse.
Ce matin, Maître Clyde est allé faire une petite course au "point vert", il voulait acheter un râteau. Dans ces cas là, il nous emmène parfois S'Tein et moi. Benca qui n'aime pas les balades en voiture, reste à la maison.
Tandis que nous attendions sagement dans la voiture sur le parking, une camionnette est venue se garer pas loin de nous. Un drôle de type habillé en kaki en est descendu. Dans la camionnette, il y avait une créature bizarre ressemblant à un chien. Un ahuri qui ne cessait d'aboyer à tue tête en crachant et se cognant le museau sur les carreaux. Au bout de cinq minutes, essoufflé il s'est calmé.
Alors S'Tein l'a apostrophé depuis notre voiture, lui a crié:
-"Mon Maître à toujours dit qu'il n'y a pas plus con qu'un chien de chasse!"
Ça a rendu l'autre dingue et il s'est remis à gueuler et cracher comme un chat enfermé dans un tonneau.
Maître Clyde est sorti en même temps que le patron de ce fou de chien.
Nous on attendant assis et sages, tandis que l'autre hurlait et bavait.
J'ai vu de la fierté dans l'oeil du patron.
Lorsqu'il a démarré la voiture, il s'est tourné vers moi et il a dit:
-"Que c'est con un chien de chasse..."
S'Tein m'a regardé et il a souri.
Ton ami à quatre patte, E'Clyde TriCanauos.
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